Merci Monsieur Bevilacqua d'y avoir si bien réussi.

[david]

Musique, magique, féerique, les enfants des mots bleus et d'Aline sont sur ma chaine.



Toujours aussi profond, sensuel, amoureux, plus mur, plus assagi peut être, comme une envie de s'envoler, de se détacher par les notes de ce monde matériel et temporel.



Moi je pars avec lui, avec sa musique.. avec son souffle.



C'est un vin, il arrive aux oreilles, se glisse dans les poumons qui ont envie de l'accompagner, pour trouver le bouquet des saveurs musicales au fond du cœur.



C'est bon, je me laisse porter, le bouddha qui est a mes cotes semble me sourire puisque nos pensées se rejoignent dans cet élan de plénitude.



Je l'avais oublié..., il avait crié tout près de ma fenêtre, dans ce café, en été, joué par le jukebox tout près de mes jeunes années, tout près de mon cœur qui balbutiait ses premiers mots d'amour.



Peut être lui a t il appris les vagues d'aimer, qui viennent si fortes, puis se retirent parfois... sans dire pourquoi.

Oui pourquoi est tu revenu? Qui a décidé ton retour dans ma mémoire? Parce que j'étais tout près de Bevilacqua en Italie? Mediapart y est aussi pour quelque chose!



Le hasard ? Non c'est trop bête de se cantonner a ça, se museler l'imagination en quelque sorte, je préfère le voir revenir pour me refaire vivre cette candeur d'aimer, sans rien de plus.

Que ses nouvelles notes un peu surréalistes me transportent sur ce nuage de sons, par les couleurs de l'arc en ciel qui lui auraient servi de portée pour m'y faire monter.



Merci Monsieur Bevilacqua d'y avoir si bien réussi.